vendredi 25 février 2011

Les âmes vagabondes de Stephenie Meyer

« Les âmes vagabondes édition 2010 »
de Stephenie Meyer

Melanie Stryder est une rebelle.
Notre Terre a été envahie par un ennemi invisible. Petit à petit, les âmes vagabondes s’emparent du corps des hommes en neutralisant leur esprit. La quasi-totalité de l’humanité a ainsi succombé.
Melanie Stryder fait partie du dernier groupe d’hommes libres. Lorsqu’elle est capturée par les Traqueurs, on lui insère Vagabonde, une âme exceptionnelle qui a déjà connu plusieurs corps. Elle sait les difficultés d’envahir un humain hostile : les émotions dévastatrices, le tumulte des sens, les souvenirs trop vifs. Et Vagabonde rencontre un obstacle supplémentaire : l’esprit de l’ancienne propriétaire résiste.
L’âme explore les souvenirs de Melanie dans l’espoir de découvrir l’endroit où se cachent les derniers résistants humains. Mais à la place de ces informations, Melanie submerge Vagabonde par les images de l’homme qu’elle aime – Jared, un humain encore en cavale. Incapable de se dissocier des pulsions de son corps d’emprunt, Vagabonde commence à aimer l’homme qu’elle est censée livrer aux autorités. Face aux pressions extérieures, Melanie et Vagabonde se retrouvent alliées malgré elles ; commence alors pour elles la quête incertaine et périlleuse de cet homme dont elles sont toutes deux amoureuses.

Traduit de l’anglais par Dominique Defert

L'auteur


Mère de trois enfants, Stephenie Meyer vit dans le Connecticut. Avec Fascination en 2005, elle inaugure une série de quatre livres  destinés aux jeunes adolescentes. Les quatre opus sont publiés en France par Hachette Jeunesse. Les âmes vagabondes reprend le schéma du triangle amoureux qui a fait le succès de la série, mais s’adresse cette fois à un public adulte.

1 commentaire:

  1. J'ai lu ce bouquin et je l'ai adoré.

    Cette auteure a le don de créer de la tension dramatique dans ses histoires de sorte que le lecteur ou la lectrice ne peut faire autrement que de tourner les pages.

    J'ai hâte qu'elle publie la suite...

    J'ai découvert votre blogue, par Facebook, et je vais sûrement y revenir.

    Mon fils de 15 ans, Rafaël, aime beaucoup écouter Castle, et je dois avouer que moi aussi.;-)

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