Croyez-le ou non, malgré les terribles événements qui ont
perturbé la première semaine de cours, la session d’automne s’est poursuivie
comme si de rien n’était au cégep de Malphas. On a même eu droit, au département
de littérature, à un nouveau collègue, Michel Condé, qui a décidé de fonder un
club de lecture. Je m’y suis aussitôt inscrit : quoi de mieux qu’une activité
littéraire normale et tranquille pour oublier ce que j’ai vécu depuis mon
arrivée à Saint-Trailouin ?
Pourtant, au cours de ces dernières semaines, je n’ai pas arrêté de penser au mystère qui entoure Malphas et Rupert Archlax senior, l’homme qui est à l’origine du cégep, et c’est pourquoi j’ai décidé de reprendre mon enquête avec l’aide de Simon Gracq, qui ne demande pas mieux.
Or, pendant que je cherche une façon de découvrir le lien qui semble unir Archlax senior à la vieille Fudd, une explication à l’odeur nauséabonde du cégep – encore plus persistante dans le local 1814 où le club de lecture se réunit – et ce qui se cache derrière la porte de métal dans le sous-sol du cégep, moi, Julien Sarkozy, j’ai de plus en plus la certitude que cette session, qui a si mal commencé, court maintenant à la catastrophe !
Pourtant, au cours de ces dernières semaines, je n’ai pas arrêté de penser au mystère qui entoure Malphas et Rupert Archlax senior, l’homme qui est à l’origine du cégep, et c’est pourquoi j’ai décidé de reprendre mon enquête avec l’aide de Simon Gracq, qui ne demande pas mieux.
Or, pendant que je cherche une façon de découvrir le lien qui semble unir Archlax senior à la vieille Fudd, une explication à l’odeur nauséabonde du cégep – encore plus persistante dans le local 1814 où le club de lecture se réunit – et ce qui se cache derrière la porte de métal dans le sous-sol du cégep, moi, Julien Sarkozy, j’ai de plus en plus la certitude que cette session, qui a si mal commencé, court maintenant à la catastrophe !
Bien que je ne sois pas un fan de Patrick, ni de sa série des Malphas, je crois qu'il me fallait ici mentionner qu'il vient de sortir le T.2. L'humour, la critique sociale des jeunes «incultes» de la nouvelle génération et des maîtres littéraires, et l'horreur y sont encore, pour le plus grand plaisir des ses fervents lecteurs. Pour ma part, je préfère les romans policiers «classiques» et américains des auteurs tels que Patterson et Castle.
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